Ma SœUr Laure

1°) Présentation et début de fantasme
Laure est une femme d’une trentaine d’année, récemment divorcée avec ses deux jeunes s, elle avait acheté une maison avec énormément de travaux à faire. De taille moyenne elle était très bien faite, un corps musclé avec des seins fermes affichant fièrement leur 90C, un sexe fourni de poils noirs comme sa couleur de cheveux.
Jeune adulte et toujours puceau, je fantasmais beaucoup sur elle.
Un été de 1985, je suis donc allé passer deux semaines chez elle pour l’aider à avancer dans les travaux de sa maison afin qu’elle puisse y commencer sa nouvelle vie.
Un soir, après une journée épuisante, elle eut soudain envie de prendre un bain, elle voulait inaugurer la baignoire installée dans la journée. Laure n’était pas pudique mais je n’avais encore jamais eu l’occasion de la voir nue.
Elle fit donc couler un bain avec de la mousse et partit se déshabiller dans la salle de bain puis je l’entendis plonger dans l’eau. J’entendis à ce moment-là un gémissement de plaisir, pas sexuel mais de bien-être. Je l’imaginais et j’essayais de réfléchir à la manière dont je pourrais venir l’admirer et surtout découvrir son corps.
Elle me facilita rapidement la tâche,
- Dis-moi, me lança t-elle, on a oublié de faire les joints autour de la baignoire, il faut qu’on y pense rapidement pour éviter de tremper les murs.
- Mince, tu as raison, tu n’as pas trop mouillé le mur ni le sol ?
- Je ne sais pas je ne vois rien dans mon bain, vient voir et dis-moi.
L’occasion était trop belle, en trente seconde j’étais à la porte de la salle de bain qui était restée grande ouverte. La baignoire se située à droite de la porte contre le même mur. En entrant je la voyais de dos, elle était allongée sous la mousse, je ne pouvais malheureusement voir que ses cheveux. J’essayais de me redresser sur mes pieds en espérant au moins apercevoir ses seins, mais il y avait trop de mousse.
- Alors tu vois quelque chose ? me rappela-t-elle pourquoi j’étais là,
Un coup d’œil rapide et sans intérêt au mur
- Il n’y a rien du tout, lui répondis-je, ça fait du bien le bain ?
- Oui énormément, j’en avais bien besoin
J’étais resté à la porte et nous avons continué à discuter des travaux ce qui nous restait à faire, les priorités.

Pendant ce temps je la regardais sans cesse, je la voyais passer ses mains partout sur son corps, je ne savais pas si c’était pour son bien être ou si elle se lavait simplement. J’apercevais ses deux genoux sortir de l’eau, et leur position montrait qu’elle avait les cuisses écartées. Je pouvais régulièrement suivre ses mains descendre le long de son corps et s’enfoncer dans l’eau. Elle mettait un certain temps à les remonter, je l’imaginais donc en train de se caresser le sexe.
Ces images ont eu un effet rapide sur ma queue et sans m’en rendre compte j’ai glissé ma main dans mon short et attrapé mon gourdin.
Subitement elle se redressa et se tourna vers moi pour me lancer :
- Tu as pensé à fermer le robinet d’eau extérieur ?
J’ai eu juste le temps de retirer ma main, mais j’ai bien remarqué qu’elle avait vu d’où elle sortait.
- Oui oui t’inquiète j’y avais pensé.
- Ah tu me rassure, j’ai eu peur d’un seul coup.
Sa position redressée et tournée vers moi, m’a enfin permis de voir un sein sur le côté. Il était rempli de mousse qui coulait. Elle se retourna de nouveau et entrepris cette fois de se laver avec un gant. J’admirais sans un mot après avoir remis instinctivement une mais dans mon short. Cela n’avait pas l’air de la gêner.
- Ce soir c’est toi qui prépares le repas, dit-elle pour briser le silence. Tu veux bien aller chercher du pain ?
- Oui d’accord j’y vais.
J’étais déçu de devoir quitter mon poste. Le temps de marcher à la boulangerie m’avait permis de débander.
A mon retour, Laure était sortie du bain mais était restée en peignoir de bain. Elle s’activait dans la cuisine pour ranger un peu. Ses mouvements avaient pour effet de desserrer la ceinture de son peignoir.
En passant l’éponge sur la table, j’avais une vue plongeante dans l’échancrure du peignoir et je pouvais admirer la rondeur de ses seins bouger et l’ombre de sa touffe quand je descendais plus bas.
Elle se redressait et resserrait sa ceinture.
C’était un bon début me dis-je assez content de ma découverte.
La maison étant en travaux, la seule chambre possible était celle de ma sœur. Il y avait juste un lit double et nous avions juste posé un matelas par terre à côté pour moi.
Elle avait juste passé un tee shirt et une culotte tout à fait banale.
Nous discutions beaucoup et je ne sais pas pourquoi nous sommes venus à parler de sa pilosité. Brune, elle avait en effet à s’épiler régulièrement pour arracher ces poils foncés qui se voyaient fort bien.
Elle avait décidé de s’épiler les jambes avec, en ce temps-là, des bandelettes autocollantes qu’elle tirait brutalement emmenant les poils qui osaient dépasser.
Elle remonta son t-shirt et regarda le haut de son pubis dépasser de sa culotte.
- Regarde ça, me dit-elle
- Tu devrais continuer ici aussi, répondis-je excité à l’idée de parler de sa touffe
- Oui mais je n’aime pas ce n’est pas pratique seule
- Si tu veux je te le fais
- Ok vas y
Sans hésitation, elle s’allongea bien à plat, remonta son t-shirt pour laisser son ventre libre. Je collai donc la bande sur les poils dépassant et je tirais assez fort dessus.
- C’est sensible mais comme tu n’hésites pas c’est supportable.

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